Paradoxe énergétique pour la Nouvelle-Calédonie

Gros producteur métallurgique, le Caillou cherche à diminuer sa dépendance énergétique (importation d’hydrocarbures, de gaz et de charbon) tout en limitant ses émissions de gaz à effet de serre. Secteurs visés : les transports, la consommation électrique des ménages, des entreprises et des collectivités pour les économies, et le développement des énergies renouvelables (solaire, photovoltaïque, biomasse, hydroélectricité) pour les sources de production.

 

Une première mouture du projet de schéma énergie et climat a été rendue publique par la direction des mines et de l’énergie, indique le journal Les Nouvelles Calédoniennes. Objectif, réduire la dépendance du pays. Une gageure face aux besoins gargantuesques des usines métallurgiques. Sous le titre « Le paradoxe énergétique« , le quotidien de Nouméa aborde les différents chapitres de cette problématique qui concerne également nos voisins calédoniens : Quels enjeux ? ; Maîtrise de l’énergie ; Développer le renouvelable. Un chiffre résume la situation sur le Caillou : 96,1 %. C’est le niveau de dépendance de la Nouvelle-Calédonie en matière d’énergie. Presque tout est importé (pétrole, gaz, charbon). Moins de 4 % proviennent d’énergies renouvelables produites localement.

 

Pour en savoir plus : à lire sur le site internet de l’IRD (Institut de recherche pour le développement) L’énergie dans le développement de la Nouvelle-Calédonie (2012)

 

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