. À Moorea : zone d’aménagement prioritaire et de développement durable en vue ; Tahiti et îles : Sixième édition du concours « J’embellis ma commune« ; Une chanson pour la perruche endémique de Rimatara ; Le projet Fare Afera consiste en une digitalisation du patrimoine polynésien. L’objectif ? Conserver et partager les objets, sites, mais aussi savoir-faire du fenua ; Mahina Tata valorise le bambou, une richesse naturelle renouvelable sous-exploitée.
# Sur proposition du ministre du Logement de l’Aménagement, le Conseil des ministres a validé ce jour le projet d’arrêté portant création du comité d’orientation stratégique (COS) pour l’élaboration du projet de zone d’aménagement prioritaire et de développement durable de la commune de Moorea-Maiao. Une démarche qui s’inscrit dans le cadre du Schéma d’aménagement général de la Polynésie française (SAGE) qui a reconnu qu’un touriste sur deux visitant la Polynésie française séjourne dans la commune de Moorea-Maiao.
# Tahiti Tourisme a lancé mardi la sixième édition du concours « J’embellis ma commune » qui revient sous un format biennal avec une période de travaux qui sera étendue à 15 mois contre six auparavant. Les associations des communes de Tahiti et celles dont l’île est dotée d’un comité du tourisme peuvent s’inscrire jusqu’au 16 septembre. (…) Pour cette nouvelle édition du concours, qui vise à permettre aux communes d’embellir leur territoire et de renforcer leur attractivité touristique, les organisateurs ont décidé de modifier le concept initial. Le concours revient donc sous une forme biennale qui va permettre de rallonger la période des travaux qui va donc être étendue à 15 mois contre six lors des précédentes éditions.
« J’embellis ma commune » revient avec un concept modifié (Tahiti Infos)
(…) au-delà de l’aménagement lui-même, l’objectif principal du concours c’est la sensibilisation de la population à la protection de l’environnement et au tourisme. Cela passe par le respect d’un cahier des charges précis. (…)
Le concours « J’embellis ma commune » cherche un « nouveau souffle » (Radio 1)
# Des jeunes voix polynésiennes au service de la perruche endémique de Rimatara. C’est l’idée de la chanson ‘Ura, produite par Vik’ura Tahiti et déjà diffusée sur Radio1 et TiareFM. Son clip, en plein montage, sera diffusé en septembre. Objectif : interpeller, le plus largement possible, sur la préservation de cet oiseau menacé d’extinction. Et si on chantait pour la biodiversité ? C’est en tout cas l’idée de Vik’ura Tahiti, qui diffuse depuis mardi sur les ondes de Radio1 et Tiare FM, la chanson ‘Ura. C’est aussi le nom de cette petite perruche endémique de Rimatara, aussi appelée Lori de Kuhl, et qui est menacée d’extinction.
‘Ura : quand Tinalei chante pour la préservation de la perruche de Rimatara (Radio 1)
(…) Une chanson en français, avec quelques mots de reo, pour parler de ce vini arc-en-ciel, de son île, la plus petite des Australes, et des dangers qui pèsent sur sa survie.
Une chanson pour le ‘Ura de Rimatara (TNTV)
Le ‘ura de Rimatara ou lori de Kuhl, cette petite perruche de 18 cm, endémique de cette île des Australes, est en danger d’extinction. Pour sensibiliser, une chanson et un clip sont en train d’être réalisés. Vous devriez bientôt les retrouver sur les ondes. La chanson est signée Tinalei.
Une chanson et un clip pour sensibiliser à la protection du ‘ura de Rimatara (Polynésie 1ère) actualisé le 18/08
# Jacques et Guillaume Janoyer portent un projet original. Baptisé Fare Afera, il consiste en une digitalisation du patrimoine polynésien. L’objectif ? Conserver et partager les objets, sites, mais aussi savoir-faire du fenua. (…) … une campagne de financement participatif est prévue avec la fondation Anavai pour récolter des fonds qui serviront au fonctionnement du site internet.
Fare Afera : le patrimoine polynésien en ligne (Tahiti Infos)
# Après de nombreuses années passées dans plusieurs îles de Polynésie, Mahina Tata est de retour sur son île en vue de partager avec ceux qui le souhaitent son expérience, sa passion et son savoir-faire en matière de tressage de bambou. (…) Mahina aime rappeler que le bambou est une richesse naturelle renouvelable sous-exploitée. Là où un arbre a besoin de plusieurs dizaines d’années pour pousser, le bambou est mature après seulement 3 ans. Il y voit une opportunité de créer de l’emploi local pour construire du mobilier, des logements de particuliers ou encore des hébergements touristiques avec des matériaux locaux dans la tradition polynésienne tout en respectant l’environnement.
Mahina Tata, la voie du bambou (Tahiti Infos)
Félicitation !