Biodiversité : coccinelles v/s fourmis et moustiques

La biodiversité animale et la biodiversité végétale sont étroitement liées. Les insectes y ont une grande part. Pour autant, ils n’ont pas tous le même rôle. L’humain, en bon jardinier doit pouvoir coopérer avec les unes sans se laisser agresser par les autres. Sans pour autant non plus utiliser l’arme lourde de la chimie, préjudiciable à la santé et à l’environnement…

 

 

Les coccinelles sont des prédateurs de pucerons et, à ce titre utiles pour garantir la pérennité des cultures dans le cadre de la lutte biologique.

Proscience veut réimplanter la coccinelle autochtone en Polynésie (TNTV)

Les coccinelles pourraient revenir en zone urbaine, ProScience s’y emploie (Tahiti Infos)

 

On ne peut pas en dire autant de la petite fourmi de feu, insecte envahissant, qui gagne du terrain.

La petite fourmi de feu aux portes de la Pape’iha (La Dépêche de Tahiti)

Fourmi de feu – À Taiarapu-Est : limiter sa progression, à défaut de l’éradiquer – (La Dépêche de Tahiti)

Fourmi de feu – Le chantier de Mahaena placé sous haute surveillance(La Dépêche de Tahiti)

 

Quant au moustique… ! 

Une expérience scientifique  prometteuse contre le virus Zika est testée à Tetiaroa. On a lâché depuis septembre 2015 plus d’un million de moustiques mâles Aedes aegypti génétiquement modifiés. Après l’accouplement avec les femelles, le développement embryonnaire se bloque et celles-ci se retrouvent stérilisées…

L’île polynésienne de Marlon Brando transformée en laboratoire contre le Zika (TNTV)

 


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