admin on 8 mai 2017 Aucun commentaire
De nos jours, la biodiversité est grandement menacée par différentes causes; notamment par l’extinction des espèces animales. La disparition des animaux est majoritairement liée à l’environnement. Retour sur quelques initiatives ayant visé, en avril, à protéger certaines espèces emblématiques en Polynésie française.
– En Polynésie française, cinq espèces de tortues marines sont représentées. Plusieurs programmes sont en place pour les protéger.
Une biologiste arrivée il y a quelques mois sur l’île de Moorea s’est donnée pour mission de mettre en place une banque de données d’identification des tortues marines présentes dans le lagon.
– Tous pour la protection des tortues (Polynésie 1ere)
L’association Te mana o te moana a donné un coup d’accélérateur à son programme d’identification des tortues marines en lançant Torsoii, un programme de traitement des photos récoltées ce qui va permettre de crééer une base de données qui peuvent être comparées les unes des autres.
– Devenez « photo-identificateur » de tortues en Polynésie (Tahiti Infos)
Une habitante de Taravao vient nourrir régulièrement les tortues (terrestres, celles-là) du jardin botanique Harrison Smith à Papeari. Suite à une convention signée avec la direction de l’environnement (Diren), ce qui n’était qu’une occupation bénévole est devenue une activité régulière.
Régine et les tortues mélomanes (La Dépêche de Tahiti)
– L’échouage des mammifères marins sur les côtes est un phénomène qui provoque souvent la mort des cétacés par état de choc. Un échouage vivant entraîne, dans les pays expérimentés, une intervention pour renflouer l’animal (cas particulier des échouages massifs) et l’aider à rejoindre des eaux plus profondes.
En Polynésie française, 25 vétérinaires, spécialistes des tortues, élus ou encore sapeurs-pompiers se mobilisent pour devenir référents en cas d’échouage de cétacés sur nos plages et récifs.
Création d’un réseau local en cas d’échouage de baleine (TNTV)
– À Rimatara, on fête les 10 ans de la réintroduction du Lori de Kulh, le ‘Ura, dans les îles Cook. La plus petite île de l’archipel des Australes, participe activement à la préservation d’un oiseau mondialement menacé dont elle a fait son emblème.
– Rimatara fête les 10 ans de la réintroduction de son emblème, le Lori de Kulh
Félicitation !